Jeudi 8 mars 2007, journée de la femme
La journée de la femme, mais quelle niaiserie,
Ne vous méprenez pas mesdames, c’est une plaisanterie
Non pas mes propos, mais cette hypocrisie,
De penser qu’il n’y a qu’aujourd’hui, que vous devriez être chéries
Qu’est-ce donc qu’une journée seule devant toutes ses sœurs ?
Pourquoi n’en ressortir qu’une, est-ce par pudeur ?
Ou bien encore de la peur, celle de faire parler son cœur
C’est à chaque instant, que vous devriez goûter au bonheur
Vous êtes si pleines de défauts, mais dieu qu’ils sont beaux,
Je vous les pardonnerai tous s’il le faut,
Car vos sourires, pour moi rien ne les vaut,
Offrez-m’en un, ce sera le plus délicieux des cadeaux
Chacune à votre manière, vous avez l’art de nous plaire,
Sans vous mes douces, la terre ne serait que poussière
Vous êtes ma bouffée d’air, mes fleurs mon univers,
Moi l’éternel solitaire, je vous dédie ces quelques vers